• Addiction à Facebook

    Une addiction à Facebook, c’est quoi ? 

    L’addiction à Facebook, une nouvelle pathologie ?

    Facebook étant un réseau social, on peut être dépendant de ces contacts faciles, très larges et variés. Dans la dépendance, il devient impossible de ne pas se connecter dans la minute où l’on rentre chez soi, de partager sa journée avec ses amis... Virtuels ou réels. Et il est difficile de fermer son ordinateur pour quitterFacebook.
    Quand l’addiction est installée, la pratique addictive n’est plus un plaisir mais devient une contrainte. On devient incapable de faire autrement, on perd la liberté d’agir. Quand Facebook commence à envahir votre vie, vous vous sentez devenir prisonnier du web, comme un moucheron dans une toile d’araignée ! Plus moyen de décoller... Et même loin de votre clavier, vos pensées vous y ramènent. Lorsque vous prenez une photo, vous pensez à son rendu sur votre Facebook, quand vous vivez un moment agréable, vous pensez déjà comment le raconter sur Facebook...

    Facebook procure aussi du plaisir !

    Les forts consommateurs de Facebook ne sont pas tous dépendants. On peut passer du temps parce que l’on y trouve du plaisir sans se sentir addict. C’est même une bonne chose. En effet, dans notre société marchande, voire mercantile, gouvernée par la publicité, on oublie parfois que le plus grand des plaisirs humains est celui du contact, de la rencontre avec l’autre. Et c’est ce que Facebook permet à sa manière. C’est un îlot de convivialité. Car ce réseau permet d’entretenir l’amitié quand les amis sont loin, les liens avec la famille quand un membre est parti à l’étranger, de partager ses photos, un film ou de la musique très facilement. Facebookest un outil de maintien du lien social, même s’il peut parfois devenir un perturbateur de vie.

    L’ADDICTION À FACEBOOK, UNE NOUVELLE PATHOLOGIE ?

    Votre ado est addict à Facebook ? 4 conseils pour éviter le dérapage !

     

    Votre ado vous semble dépasser la mesure ? Prenez des décisions pour l’aider à ne pas se faire envahir par le virtuel.

    - Encouragez-le à sortir avec ses amis, à leur téléphoner. La vie réelle est toujours plus riche que la vie virtuelle !

    - Incitez-le à avoir des activités physiques, musique, sport, sorties culturelles, créativité... De la guitare au tennis en passant par la sculpture ou le karaté, il y a bien quelque chose qui l’intéressera.

    - Imposez des horaires où vous coupez la connexion Internet, un vrai couvre-feu du web.

    - Ne lui offrez surtout pas un téléphone connectable à Internet qui lui permettrait d’être en ligne 24 heures sur 24.