• Correction : Le discours direct et indirect dans « la boîte à merveilles »

    Correction : Le discours direct et indirect dans « la boîte à merveilles »

     

    Le verbe introducteur est au passé.

    1)    Ma mère me dit : - « Je t'emmène prendre un bain, je te promets une orange et un œuf dur. »

    Ø Ma mère me dit qu'elle m'emmenait prendre un bain et qu'elle me promettait une orange et un œuf dur.

    2)    Toujours hoquetant, je répondis : - « Je ne veux pas aller en Enfer. »

    Ø Toujours hoquetant, je répondis que je ne voulais pas aller en Enfer.

    3)    La mère dit à la caissière : - « Je te laisse mon fils, je n'ai pas eu encore une goutte d'eau pour me laver. »

    Ø La mère dit à la caissière qu'elle lui laissait son fils et qu'elle n'avait pas eu encore une goutte d'eau pour se laver.

    4)    Ma mère m’ordonna : - « Habille-toi! »

    Ø Ma mère m'ordonna de m'habiller.

    5)    Mon père interrogea ma mère : - « Avec qui t’es-tu encore disputée ? »

    Ø Mon père interrogea ma mère pour savoir avec qui elle s'était encore disputée.

    6)    – « Qu'a-t-il ton fils ? » demanda la visiteuse qui remarqua la pâleur de son visage.

    Ø La visiteuse qui remarqua la pâleur de son visage demanda ce qu'avait son fils.

    7)    Lalla Aïcha proposa à ma mère : - « montons tous les trois cet après-midi à Sidi Ali Boughaleb. »

    Ø Lalla Aïcha proposa à ma mère de monter tous les trois l'après-midi même à Sidi Ali Boughaleb.

    8)    – « Donne-moi la main », m’ordonna ma mère.

    Ø Ma mère m'ordonna de lui donner la main.

    9)    – « Va devant, tu as la main toute moite », me recommanda ma mère.

    Ø Ma mère me recommanda d'aller devant et elle ajouta que j'avais la main toute moite.

    10)             – « Vos vœux seront exaucés et vos désirs comblés, Dieu est généreux, il soulage les souffrances et panse toutes les blessures », affirma la gardienne du mausolée.

    Ø La gardienne du mausolée affirma que nos vœux seraient exaucés et nos désirs comblés, que Dieu était généreux et qu'il soulageait les souffrances et pansait toutes les blessures.

    11)             Mon père conseilla à ma mère : - « Ne l'envoie pas au Msid, il semble bien fatigué. »

    Ø Mon père conseilla à ma mère de ne pas m'envoyer au Msid et il ajouta que je semblais bien fatigué.

    12)             La Chouafa demanda à ma mère : - « Comment te sens-tu ce matin ? »

    Ø La Chouafa demanda à ma mère comment elle se sentait ce matin-là.

    13)             Ma mère me demandait : - « Ta tête ne te fait-elle pas trop souffrir ? Ton sommeil a-t-il été paisible ? »

    Ø Ma mère me demandait si ma tête ne me faisait pas trop souffrir et si mon sommeil avait été paisible.

    14)             La Chouafa concluait : - « La santé est chose capitale ! Rien ne peut la remplacer. »

    Ø La Chouafa concluait que la santé était chose capitale et que rien ne pouvait la remplacer.

    15)             La Chouafa lui recommanda : - « Ne t'inquiète pas pour ton fils, les amis de Dieu veillent sur sa santé. Il a des protecteurs dans le monde visible et dans le monde invisible. »

    Ø La Chouafa lui recommanda de ne pas s'inquiéter pour son fils, elle ajouta que les amis de Dieu veillaient sur sa santé et qu'il avait des protecteurs dans le monde visible et dans le monde invisible.

    16)             Ma mère demanda à notre voisine : - « Tu célèbres un mariage ? Pourquoi fais-tu brûler plusieurs bougies ? »

    Ø Ma mère demanda à notre voisine si elle célébrait un mariage et pourquoi elle faisait brûler plusieurs bougies.

    17)             Ma mère dit : - « Ta lampe éclaire bien. Mais n'y a-t-il pas de danger d'explosion ? Des risques d'incendie ? »

    Ø Ma mère dit que sa lampe éclairait bien. Mais elle demanda s'il n'y avait pas de danger d'explosion et des risques d'incendie.

    18)             Bziouya répondit timidement : - « Je ne crois pas qu'il y ait de danger. Plusieurs personnes du quartier se servent maintenant de ces lampes. Elles en paraissent très satisfaites. »

    Ø Bziouya répondit timidement qu'elle ne croyait pas qu'il y avait de danger, que plusieurs personnes du quartier se servaient de ces lampes et qu'elles en paraissaient très satisfaites.

    19)             Ma mère dit à Rahma : - « Nous pouvons peut-être te venir-en aide. Cesse de pleurer. »

    Ø Ma mère dit à Rahma qu'elles pouvaient peut-être lui venir en aide et elle lui conseilla de cesser de pleurer.

    20)             Hoquetant, je lui répondis : - « Cela m'est égal qu'on ne retrouve pas Zineb, je pleure parce que j'ai faim! »

    Ø Hoquetant, je lui répondis que cela m'était égal qu'on ne retrouvait pas Zineb et que je pleurais parce que j'avais faim.

    21)             Ma mère répondit : - « Cette pauvre Rahma a passé une journée dans les affres de l'angoisse. Nous avons toutes été bouleversées. »

    Ø Ma mère répondit que cette pauvre Rahma avait passé une journée dans les affres de l'angoisse et qu'elles avaient toutes été bouleversées.

    22)             – « Que s'est-il passé? demanda mon père. »

    Ø Mon père questionna pour savoir ce que s'était passé.

    23)             Rahma gratifia Zineb d'une gifle sonore et lui demanda : - « N'as-tu pas honte de mouiller ton lit presque chaque nuit ? Je devrais te lâcher dans une étable, au lieu de te préparer chaque soir, ton matelas. »

    Ø Rahma gratifia Zineb d'une gifle sonore et lui demanda si elle n'avait pas honte de mouiller son lit presque chaque nuit et elle ajouta qu'elle devrait la lâcher dans une étable, au lieu de lui préparer chaque soir, son matelas.