• Exercices sur l'imparfait et le passé composé

    Ecrivez les verbes entre parenthèses à l'imparfait ou au passé composé.

    Tout à coup, il (se produire)  un grand mouvement dans la foule.
    Chaque soir (éclater)  un orage qui (durer)  une heure.
    Vers minuit, comme il (sortir)  de la maison, un coup de vent (souffler)  sa lanterne qui (s'éteindre) .
    A chaque gare, l'omnibus (s'arrêter) , (manoeuvrer) , (attendre)  on ne sait quoi, puis (repartir) .
    Ce jour-là, ils (partir)  à l'aube et (marcher)  longtemps avant d'atteindre la ville qui (se trouver)  au-delà de la rivière.
    UN ORAGE.
    (Au cours d'un voyage sur les bords du Rhin, Victor Hugo a eu l'occasion d'assister, depuis la voiture où il avait pris place, à "un des plus beaux orages" qu'il ait jamais vus.)
    Le soir (approcher) , le soleil (décliner) , le ciel (être)  magnifique. Je (regarder)  les collines du bout de la plaine, qu'une immense bruyère violette (recouvrir)  à moitié... Tout à coup j' (voir)  un cantonnier redresser sa claie (1) couchée à terre et la disposer comme pour s'abriter dessous. Puis la voiture (passer)  près d'un troupeau d'oies qui (bavarder)  joyeusement. "Nous allons avoir de l'eau, (dire)  le cocher." En effet, j' (tourner)  la tête : la moitié du ciel derrière nous (être)  envahie par un gros nuage noir, le vent (être)  violent, les ciguës en fleur (se courber)  jusqu'à terre, les arbres (sembler)  se parler avec terreur, de petits chardons desséchés (courir)  sur la route plus vite que la voiture, au-dessus de nous (voler)  de grandes nuées. Un moment après (éclater) un des plus beaux orages que j'aie vus.
    (Victor Hugo, Le Rhin.)
    (1) claie : treillage en bois.

    Ce texte vous est donné au présent. Transposez-le au passé en mettant les verbes au passé composé ou à l'imparfait selon le cas.

    C'est une splendide soirée de juillet et l'air est embaumé de l'odeur des forêts de pins. De temps à autre, ils entendent un ramier ou aperçoivent le poitrail bruni d'un faisan. De petits écureuils leur lancent des regards curieux du haut des hêtres tandis qu'ils passent, et les lapins détalent à toute allure à travers les fourrés...
    Lorsqu'ils pénètrent dans l'avenue de Canterville Chase, toutefois, le ciel se couvre de nuages, un calme bizarre paraît s'emparer de l'atmosphère, un grand vol de corneilles passe silencieusement au-dessus de leurs têtes et quelques grosses gouttes de pluie tombent.
    Debout sur le perron, pour les recevoir, se tient une vieille femme, proprement habillée de soie noire. C'est Mrs. Umney, la gouvernante. Elle leur fait à tous une profonde révérence à mesure qu'ils descendent de voiture et dit, d'une gentille voix à l'ancienne mode : "Soyez les bienvenus à Canterville Chase, je vous prie."
    D'après Oscar Wilde, Le fantôme de Canterville, Poche-Jeunesse éd.

    C' une splendide soirée de juillet et l'air  embaumé de l'odeur des forêts de pins. De temps à autre, ils  un ramier ou  le poitrail bruni d'un faisan. De petits écureuils leur  des regards curieux du haut des hêtres tandis qu'ils , et les lapins  à toute allure à travers les fourrés...
    Lorsqu'ils  dans l'avenue de Canterville Chase, toutefois, le ciel  de nuages, un calme bizarre  s'emparer de l'atmosphère, un grand vol de corneilles  silencieusement au-dessus de leurs têtes et quelques grosses gouttes de pluie .
    Debout sur le perron, pour les recevoir, se  une vieille femme, proprement habillée de soie noire. C'Mrs. Umney, la gouvernante. Elle leur  à tous une profonde révérence à mesure qu'ils de voiture et leur , d'une gentille voix à l'ancienne mode : "Soyez les bienvenus à Canterville Chase, je vous prie.