• Les avions du 11 septembre n'étaient que des hologrammes

    Des hologrammes voilà ce que c'étaient!

    John Lear était un pilote expérimenté, un homme controversé, mais dont le récit, qu’il s’apprête à nous dévoiler, n’a rien de banal, bien au contraire. Bob Lazar lui-même dit de lui qu’il a une forte tendance à en rajouter, mais à le lire, on en arriverait à le croire, tellement ce qu’il dit semble plausible et censé.

    Il pense que les avions qui ont percuté le World Trade Center et le Pentagone également le 11 septembre n’étaient en fait que des hologrammes, il dit en effet que la technologie holographique est maintenant très avancée et qu’il est donc aisé de reproduire à échelle réelle des avions. Suite à cette déclaration, il explique que nombreux sont ceux qui ont essayé de lui barrer la route, en lui disant par exemple qu’il faisait du tort à nos souvenirs du 11 septembre et qu’il salissait les mémoires de beaucoup de personnes mortes ce jour-là.

    La journaliste lui explique que Henry Deacon pense quant à lui que les avions ce jour-là étaient télécommandés et veut savoir ce que John en pense. En ce qui concerne celui qui s’est écrasé à Shanksville, le vol 93, il apparaît qu’aucune épave n’a été retrouvée. Quant au vol 175, celui qui s’est écrasé sur la tour sud, il dit que c’est totalement impossible de l’écraser ainsi. Il s’explique, un avion tout d’abord ne peut pas voler en dessus de 900 mètres, il ne peut pas dépasser les 580 km/h, le maximum de vitesse opérationnel, il pourrait bien voler a 50 ou 60 km/h de plus, mais un dispositif de sécurité se mettrait immédiatement en route, un système de son qui irrite le pilote à un tel point qu’il lui est alors impossible de l’ignorer, il est donc forcé de ralentir.

    Il faut se souvenir que les hommes pilotant l’avion étaient novices, ils ne connaissaient que pour ainsi dire les bases de l‘aviation et il leur aurait été impossible de voler au-delà de 630 à 650 km/h en plus de le faire avec le dispositif de sécurité activée.

    En ce qui concerne le téléguidage précédemment soumis par Henry Deacon, John dit qu’il serait plus que difficile de téléguider un avion de cette taille, il réaffirme qu’aucune épave n’a été trouvée. Il dit que les seuls morceaux qui ont été retrouvés, pour l’un faisait plus de deux mètres de long, ce qui est tout à fait impossible, car l’avion aurait été désintégré sous le choc en des milliers de petits morceaux, on aurait donc dû en retrouver des milliers de petits, pas un seul gros, surtout que ce gros morceau a été retrouvé dans un état quasi parfait et pour l’autre, le moteur retrouvé dans Murray Street a été identifié comme étant un CFM-56 ou un CF6, ces deux types de moteurs sont "Général Electric", alors qu’United Airlines n’utilise que "Pratt et Whitney". Ce moteur n’était donc pas d’après ces dires le moteur du vol 175.

    Il pense aussi que l’effondrement de l’immeuble sept est ridicule, il pense que le rétroprojecteur qui a envoyé les deux avions, les vols 175 et 11, a dû se déglinguer, car le vol 93 devait s’écraser sur l’immeuble sept et finalement a changé sa trajectoire.

    Les bâtiments étaient en fait préparés pour une démolition contrôlée, ils avaient prévu que la première phase de la démolition contrôlée servirait à montrer la découpe supposée faite par un avion qui aurait pénétré la façade, mais cela une fois de plus lui paraît ridicule. De plus, la démolition a dû être contrôlée pour couper chaque poutrelle métallique en barres de neuf mètres, pour qu’elles entrent dans des camions pour quitter les lieux. Il est certain en comparant tous les éléments à sa disposition que l’effondrement a été provoqué par une arme a énergie directe, dirigée bien entendu par une plateforme spatiale d’armement. Il ne dit pas cela au hasard bien sûr, des recherches ont été effectués et il s’avère que les particules de poussière étaient d’environ de 80 microns, c’est ce qu’une arme a énergie directe produit quand elle pulvérise sa cible, c’est d’ailleurs ce qui explique que les sous-sols est étaient en fusion pendant plus de six semaines.

    Pour lui, l’avion que nous avons ce jour-là vu voler au-dessus de la maison blanche, le 747, est à l’origine de tout, des images holographiques des avions s’écrasant sur les tours jumelles, des images de synthèses nécessaires au bon fonctionnement du plan, des images transmises aux chaînes de télévision montrant les tours s’effondrer sous les impacts etc.

    Norm Bergrun et Ron Blackburn vont tous deux dans son sens et tout trois pensent que notre avancé technologique est bien plus avancée que ce que le gouvernement veut bien nous faire croire.

    Le 31 mars 2007, Morgan Reynolds a intenté un procès contre 22 sociétés, dont certaines des plus puissantes, il les accuse en fait d’accepter de l’argent pour donner des informations erronées à une agence gouvernementale, le NIST (National Institute of Standards in Technology). Bush lui-même a demandé au NIST de déterminer pourquoi le WTC s’était effondré. Le NIST a trouvé une excuse à l’effondrement ridicule et Morgan Reynolds a plus de quarante pages d’erreurs en sa possession.

    Le 28 janvier 2008, John Lear a ajouté une page à ce dossier, incluant les preuves qu’il avait quant à la thèse des hologrammes.

    John Lear nous explique qu’il existe une organisation dont voici l’adresse mail, PilotsForTruth.com qui compte des membres qui approuvent sa démarche et toutes ces paroles.

    Voici l’histoire d’April Gallup, une jeune femme travaillant au pentagone. Le jour même de l’attentat, elle avait avec elle son bébé de six mois, qu’elle allait déposer comme tous les matins à la crèche de la zone. Ce matin-là, on lui a refusé l’accès en lui disant qu’elle devait garder son enfant avec elle, ce qu’elle a fait. Son petit était donc à l’abri sous son bureau quand l’explosion a eu lieu. Elle n’était qu’à une dizaine de mètres de l’explosion et elle affirme que cette dernière a eu lieu quand elle a appuyé sur le bouton ON de son ordinateur. Elle a donc pris son bébé sous le bras et est sortie en passant par le trou béant, elle n’a vu aucun débris. Une fois à l’hôpital, des collègues sont venus lui rendre visite et lui ont dit qu’elle avait vu un avion s’écraser devant elle. Elle a nié, mais ils lui ont fait comprendre que c’est la version qu’elle devait donner. Étrange non ?

    Il a aussi en sa possession un manuel militaire qui parle des équipements de l’armée. En voici quelques lignes : « le projecteur holographique projette une image visuelle 3D dans un endroit voulu, sans générateur d’affichage. Le projecteur peut être utilisé pour des opérations psychologiques et pour la gestion de la perception stratégique. Il est aussi utile pour la tromperie optique, ainsi que pour masquer, fournissant une distraction passagère lors d’un engagement avec un adversaire peu sophistiqué. Il a des possibilités de projections précises d’images visuelles 3D dans un lieu choisi. Complément de gestion des opérations secrètes et gestion de la perception stratégique, il octroie la tromperie et la dissimulation envers les centres optiques ». Cela a été écrit en 1999.

    John Lear n’est peut-être pas si illuminé que cela, sa thèse semble tenir la route, d’autant qu’il fournit des preuves, celles-ci appuyées par son expérience de pilote professionnel. Peut-être un jour sauront-nous tout ?