• L'expression de la circonstance

    Les compléments circonstanciels dans
    la phrase simple et complexe

    Comme leur nom indique, les compléments circonstanciels expriment les circonstances de l’action, temps, lieu, manière, cause, conséquence, but, etc.

    La plupart des compléments circonstanciels sont déplaçables et supprimables et ne font donc pas partie du groupe verbal, ni de la phrase minimale.

    Les compléments circonstanciels sont le plus souvent introduits par des prépositions variées. Toutefois, certains compléments circonstanciels peuvent être construits directement.
    Exemple : En raison de la chaleur, les enfants sont restés dans l’eau toute la journée.

     Classe grammaticale

     Le complément circonstanciel peut être :

    • un groupe nominal : Le matin, je pars pour le stade.
    • un pronom : Je dînerai avec toi chez quelqu’un.
    • les pronoms adverbiaux en et : Il en pâlit (de peur). Il y va (à Madrid).
    • un adverbe : Hier, nous avons longuement parlé.
    • un adverbe interrogatif :  jouez-vous? Comment irez-vous ?
    • un verbe à l’infinitif : Avant de partir, je te téléphonerai.
    • un verbe au gérondif : Il s’est blessé en jouant.
    • une proposition circonstancielle : Quand il pleut, nous ne sortons pas.

     Les catégories des compléments circonstanciels

     Le moyen

     Le complément circonstanciel de moyen désigne, comme son nom l’indique, le moyen (ou l’instrument) employé pour accomplir l’action. Il est introduit le plus souvent par avec, sans, à, de, au moyen de, à l’aide de…

    Exemple : Elle coupe sa viande avec un couteau.

     L’accompagnement

     Le complément circonstanciel d’accompagnement indique avec qui, ou sans qui, s’accomplit l’action. Il est introduit par les prépositions avec, sans, ou par la locution prépositive en compagnie de.

    Exemple : Ils se sont mis à table avec les invités, mais sans lui.

     La manière

     Le complément circonstanciel de manière indique de quelle manière s’accomplit l’action.

    Il peut être : 

    • un groupe nominal, ou un pronom, introduit par les prépositions avec, sans, à, de, en… : Tout le monde observait le nouvel arrivant avec curiosité.
    • un adverbe : Les badauds suivent attentivement les explications du camelot.
    • un verbe à l’infinitif : Ce chauffard conduit sans respecter le code de la roue.
    • un verbe au gérondif : Le journaliste parle en chantonnant.
    • une proposition principale : Il conduit, ses mains se crispant sur le volant.

     Le lieu

     Le complément circonstanciel de lieu permet de situer l’action dans l’espace.

     Il peut être :

    • un groupe nominal, ou un pronom, introduit le plus souvent par les prépositions : à, de, chez, dans, en, le long de, à côté de… : Les élèves jouent dans la cour et sortent de l’école
    • un adverbe : Les enfants jouent dehors.
    • une proposition relative sans antécédent : Va où tu veux.

     Le temps

     L’emploi des compléments circonstanciels de temps dans la phrase simple.

     Dans la phrase simple, les compléments circonstanciels de temps, comme leur nom l’indique, servent à situer l’action dans le temps (durée, date, etc.). Ils sont, le plus souvent, supprimables et déplaçables.

    Exemple : Il n’a rien mangé pendant trois jours.

     Le complément circonstanciel de temps peut être : 

    • un groupe nominal introduit ou non par une préposition : Les hiboux dorment le jour. Je l’ai vu depuis trois jours.
    • un verbe à l’infinitif, introduit par une préposition. Le sujet de l’infinitif doit être le même que celui du verbe principal : Après l’avoir vu, j’ai compris = Après que je l’ai vu, j’ai compris.
    • un adverbe : Revenez bientôt !
    • un gérondif. Gérondif et verbe de la principale doivent avoir le même sujet:  Il a ramassé des champignons en se promenant dans le bois.

     

    L’emploi des compléments circonstanciels de temps dans la phrase complexe

     

    ● Elles sont introduites par des conjonctions et locutions conjonctives variées et peuvent exprimer la simultanéité, l’antériorité ou la postériorité d’une action par rapport à celle de la principale.
    Exemple : Personne n’écoutait pendant qu’il parlait. On allumera le feu avant qu’il ne vienne. Tout le monde l’applaudira après qu’elle aura récité son poème.

    ● Lorsque plusieurs propositions subordonnées sont juxtaposées ou coordonnées, la conjonction peut être reprise par que.
    Exemple : Quand tu seras prêt et que tu m’appelleras, je descendrai.

    L’emploi du mode dans la subordonnée circonstancielle de temps

     

    ● Le verbe de la subordonnée est à l’indicatif ou au conditionnel, lorsque celle-ci est introduite par quand, lorsque, pendant que, tandis que, au moment où, depuis que, aussitôt que, après que, une fois que…
    Exemple : Les escargots sortent quand il pleut. Le capitaine dormait au moment où le feu se serait déclaré.

     ● Le verbe de la subordonnée est au subjonctif, lorsque celle-ci est introduite par avant que, en attendant que, jusqu’à ce que…

    Exemple : Les chasseurs partent avant qu’il ne fasse jour.

     ● L’idée du temps peut être exprimée par d’autres procédés que le groupe ou la proposition subordonnée compléments circonstanciels.

     — Le sens des mots : La fraîcheur matinale succède à la chaleur de la nuit.

    — L’organisation de la phrase : Elle est là, il est heureux (simultanéité). Il saute, puis tombe.
    — Le temps des verbes : Je le ferai si tu veux.
    — Les périphrases verbales : Le spectacle va reprendre, l’entrance vient de se terminer.

      La cause

     L’emploi des compléments circonstanciels de cause dans la phrase simple

    Le complément circonstanciel de cause peut être : 

    • un groupe nominal introduit par une préposition (ou une locution prépositive) : à, pour, de, par, à cause de, faute de, grâce à, etc. : Il a été puni pour bavardage.
    • un verbe à l’infinitif introduit par une préposition (ou une locution prépositive) : faute de, à, de, etc. : Faute de savoir le résultat, je me suis rendu ridicule.
    • un verbe au gérondif : En voyant la pluie, nous ne sommes pas sortis. 

    L’emploi des compléments circonstanciels de cause dans la phrase complexe

     

    On distingue :
    ●  Les propositions circonstancielles de cause. Elles sont introduites par les conjonctions comme, parce que, puisque, sous prétexte que, d’autant (plus) que, … et sont à l’indicatif (ou au conditionnel).
    Exemple : Le directeur est absent parce qu’il aurait la varicelle.

    — Lorsque deux propositions subordonnées circonstancielles de cause sont coordonnées, la conjonction est très souvent reprise par que.
    Exemple : Il n’a pas su faire l’exercice, d’autant qu’il n’avait pas appris la leçon et qu’il n’avait pas beaucoup cherché.
    — Lorsque la cause est niée, le verbe est au subjonctif.
    Exemple : Il ne viendra pas. Non qu’il n’en ait pas envie, mais il sera à l’étranger.
    — La cause peut être mise en relief au moyen de la tournure si… c’est que.
    Exemple : S’il ne vient pas, c’est qu’il en est empêché.

    ●  Les propositions participiales.
    Exemple : La pluie étant tombée pendant trois jours, nous sommes rentrés.

     La conséquence

     

    L’emploi des compléments circonstanciels de conséquence dans la phrase simple

    Seul le verbe à l’infinitif, introduit par les prépositions (ou locutions prépositives): à, pour, au point de, de manière à, … peut être complément circonstanciel de conséquence.
    Exemple : Pierre est assez adroit pour réussir le montage.
    Ces compléments sont toujours placés après le verbe conjugué.

    L’emploi des compléments circonstanciels de conséquence dans la phrase complexe

    Les propositions subordonnées circonstancielles de conséquence sont toujours placées après la principale, et présentent deux types de constructions.
    ●  La conséquence n’est pas liée à un degré d’intensité :
    Les propositions subordonnées sont introduites par les conjonctions de sorte que, si bien que, au point que, de façon que…
    Exemple : L’incendie a pris dans la scierie de sorte qu’on a dû évacuer les maisons environnantes.

    ●  La conséquence liée à un degré d’intensité
    — portant sur le verbe: Les propositions subordonnées sont introduites par les conjonctions tant, tellement, à un (tel) point + que, ou trop, assez + pour que.
    Exemple : Il souffre tant qu’il fait peine à voir.
    — portant sur un adjectif ou un adverbe : Les propositions subordonnées sont introduites par les conjonctions si, tant, tellement + adjectif ou adverbe + pour que, ou assez, trop + adjectif ou adverbe + pour que…
    Exemple : La mer est trop grosse pour qu’on sorte le bateau.

    L’emploi du mode dans la subordonnée circonstancielle de conséquence

    ● L’indicatif ou le conditionnel après les conjonctions de sorte que, si bien que, tant que, tellement que, si … que, tant … que, etc.
    Exemple : Elle explique tellement que tout le monde doit (devrait) comprendre.

    ● Le subjonctif après les conjonctions pour que, assez … pour que, et, pour les propositions subordonnées liées à un degré d’intensité, lorsque la proposition principale est négative.
    Exemple : Il suffit qu’elle arrive pour que tout le monde se taise.

     Le but

     L’emploi des compléments circonstanciels de but dans la phrase simple

    ● Le complément circonstanciel de but, introduit par les prépositions (ou locutions prépositives) pour, en vue de, de peur de, de crainte de… peut être :
    — un groupe nominal : Le texte a été remanié en vue d’une édition ultérieure.
    — un verbe à l’infinitif : Il crie afin de se faire entendre.

    ● Après les verbes de mouvement, l’infinitif complément circonstanciel de but peut se construire directement. Il n’est alors jamais déplaçable.
    Exemple : Il court pour attraper son train → Il court attraper son train

    L’emploi des compléments circonstanciels de but dans la phrase complexe

    Les propositions subordonnées de but sont toujours au subjonctif.

    Les locutions conjonctives servant à introduire une subordonnée complément circonstanciel de but peuvent être : pour que, afin que, de crainte que, de peur que….
    Exemple : Il marche sur la pointe des pieds de peur qu’on ne l’entende.

     

    La condition

     L’emploi des compléments circonstanciels de condition dans la phrase simple

    Le complément circonstanciel de condition peut être : 

    • un groupe nominal introduit par la locution prépositive en cas de…
      Exemple : En cas d’échec, je recommencerai.
    • un verbe à l’infinitif introduit par les prépositions (ou locutions prépositives): à, à condition de…
      Exemple : Il ne pourrait tous les loger, à moins de changer d’appartement.
    • un verbe au gérondif : En partant plus tôt, vous éviteriez la chaleur. 

     

    L’emploi des compléments circonstanciels de condition dans la phrase complexe

     Les propositions subordonnées circonstancielles introduites par si

     

    ● Si + présent ou passé composé
    La condition est tout à fait réalisable. Le verbe de la principale est à l’indicatif.

    Exemple : Si vous tournez à gauche, vous apercevrez l’hôtel de ville.

     ● Si + imparfait

    — La condition n’est pas impossible à réaliser dans un avenir proche : c’est le potentiel.
    Exemple : Si je gagnais le tournoi de tennis, mon père m’offrirait une raquette neuve.
    — La condition est irréalisable: c’est l’irréel du présent.
    Exemple : Si j’étais le champion du monde, je vivrais aux Etats-Unis.
    Dans les deux cas, le verbe de la principale est au conditionnel présent.

     ● Si + plus-que-parfait

    La condition ne s’est pas réalisée : c’est l’irréel du passé. Le verbe de la principale est au conditionnel passé.
    Exemple : Si la banque nous avait accordé un prêt, nous aurions pu changer d’appartement.

     Les autres propositions subordonnées circonstancielles

    Elles sont introduites par d’autres conjonctions (ou locutions conjonctives) de subordination que si.
    ● Le verbe est à l’indicatif, si la subordonnée de condition est introduite par suivant que…
    Exemple : Selon qu’il trouvera ou non du travail, il cherchera un appartement.

    ● Le verbe est au conditionnel, si la subordonnée de condition est introduite par au cas où…
    Exemple : Au cas où il téléphonerait, demande-lui de rappeler.

    ● Le verbe est au subjonctif, si la subordonnée de condition est introduite par que, pourvu que…
    Exemple : Il dînera avec nous, à moins qu’il (ne) soit retardé.

    L’opposition

    L’emploi des compléments circonstanciels d’opposition dans la phrase simple
    Le complément circonstanciel d’opposition peut être : 

    • un groupe nominal introduit par les prépositions (ou locutions prépositives) sans, excepté, malgré, en dépit de, avec…
      Exemple : Malgré son visage ingrat, il a beaucoup de charme.
    • un verbe à l’infinitif introduit par les prépositions (ou locutions prépositives) sans, loin de, au lieu de… Le sujet du verbe à l’infinitif doit être le même que celui de la principale.
      Exemple : Au lieu de s’arrêter, le train traversa la gare à grande vitesse.
    • un verbe au gérondif précédé de tout.
      Exemple : Tout en conduisant prudemment, il a manqué le virage.
    • un verbe au participe présent, introduit par une conjonction.
      Exemple : Bien que marchant difficilement, elle est montée au troisième étage.
    • un adjectif introduit par une conjonction.
      Exemple : Bien que prudent, il n’a pas attaché sa ceinture.

    L’emploi des compléments circonstanciels d’opposition dans la phrase complexe

     

    Propositions subordonnées circonstancielles d’opposition non liées à un degré d’intensité

    ● Introduites par les locutions conjonctives pendant que, tandis que, alors que…, elles sont le plus souvent à l’indicatif.
    Exemple : Il joue, tandis que tu lis.

    ● Introduites par la locution conjonctive quand bien même…, elles sont au conditionnel.
    Exemple : Quand bien même il pleuvrait, tu jouerais dehors.

    ● Introduites par même si, elles sont à l’indicatif.
    Exemple : Même s’il pleuvait, tu jouerais dehors.

    ● Introduites par les locutions conjonctives bien que, quoique, sans que, loin que…, elles sont au subjonctif.
    Exemple : Bien qu’il pleuve, tu joues dehors.

    Propositions subordonnées circonstancielles d’opposition liées à un degré d’intensité

    ● L’intensité porte sur un nom.
    Introduites par les locutions conjonctives quelque + nom + que ou quel que + nom, elles sont au subjonctif.
    Exemple : Quelques conseils qu’on lui donne, il ne les suit jamais.

    Remarque
    Quelque et quel, toujours suivis d’un nom, sont adjectifs indéfinis et s’accordent avec ce nom.

     ● L’intensité porte sur un adjectif ou un adverbe.

    — Introduites par les locutions conjonctives si, quelque, pour + adjectif ou adverbe + que, elles sont au subjonctif.
    Exemple : Si maladroitement qu’il parlât anglais, il se faisait comprendre.
    — Introduites par tout + adjectif ou adverbe + que, elles sont à l’indicatif.
    Exemple : Tout adroites qu’elles étaient, elles n’ont pu faire le montage. 

    Remarque
    Quelque et tout, suivis d’un adjectif ou d’un adverbe, sont adverbes et restent donc invariables.

    ● L’intensité est exprimée par un pronom relatif sans antécédent.
    Introduites par qui que, quoi que, ou que…, elles sont au subjonctif.
    Exemple : Qui que ce soit  qui vienne, dites que je ne suis pas là.

    La comparaison

     L’emploi des compléments circonstanciels de comparaison dans la phrase simple

    Les compléments circonstanciels de comparaison.

    Ce sont des groupes nominaux introduits: 

    • par les locutions prépositives à la façon de, à la manière de, contrairement à, auprès de…
      Exemple : Auprès de son père, il a les cheveux noirs.
    • par l’adjectif tel qui, en principe, s’accorde avec le deuxième terme de la comparaison, mais très fréquemment aussi avec le premier (contrairement à tel que…, qui s’accorde toujours avec le nom qui précède).
      Exemple : Sa voix claqua tel(le) un fouet.
    • par les conjonctions comme, ainsi que, de même que… (des conjonctions, car ces compléments sont, en réalité, le résultat de l’ellipse d’une proposition subordonnée).
      Exemple : De même que sa grand-mère (portait la coiffe), elle porte une coiffe.

     Les compléments du comparatif et du superlatif

    Ces compléments sont liés à un degré de signification de l’adjectif, de l’adverbe ou du nom. Ils correspondent souvent aussi à une proposition subordonnée elliptique et sont annoncés par des locutions variées.

     

      Comparatif Superlatif
    Adjectif, adverbe aussi…, plus…, moins… que
    mieux…, meilleur…, pire… que
    le plus…, le moins… de
    le mieux…, le meilleur, le pire de
    Nom autant de…, moins de…, plus de…, autre…, même… que le plus de…, le moins de…

    L’emploi des compléments circonstanciels de comparaison dans la phrase complexe

    Les propositions circonstancielles de comparaison. 

    • Elles sont introduites par les conjonctions comme, ainsi que, tel que, de même que, de la même façon que, comme si. Elles sont à l’indicatif ou au conditionnel.
      Exemple : Ils jouent dans l’eau ainsi que s’ébattent des dauphins.
    • Quand la proposition subordonnée est en tête de phrase, la conjonction qui l’introduit peut être reprise par ainsi au début de la principale.
      Exemple : Comme une barque est ballottée par la tempête, ainsi il allait, poussé par la foule.

     

    Les propositions subordonnées compléments du comparatif et du superlatif

    ● Les propositions subordonnées compléments du comparatif.
    Annoncées par les mêmes termes que les compléments de la phrase simple, elles sont introduites par que. Le verbe de la proposition subordonnée est à l’indicatif ou au conditionnel.
    Exemple : Ce livre était plus intéressant que je ne le pensais.

    ● Les propositions subordonnées compléments du superlatif.
    Elles sont introduites par les mêmes termes que les compléments de la phrase simple, mais la préposition de est remplacée par un pronom relatif. Le superlatif appelle le subjonctif dans la subordonnée ; toutefois l’indicatif s’emploie quand on veut insister sur la réalité du fait.
    Exemple : C’est la plus belle histoire que je connaisse / que je connais.

     Autres circonstanciels

    L’addition

    Les compléments circonstanciels d’addition s’introduisent par outre que et se construisent avec l’indicatif ou le conditionnel selon le sens.

    Exemple : Outre qu’il est trop jeune, il n’a pas le diplôme requis.

     La restriction

    Les compléments circonstanciels de restriction s’introduisent par excepté que, sauf que, hormis que, hors que, si ce n’est que, si non que…
    Elles se construisent avec l’indicatif ou le conditionnel selon le sens.
    Exemple : Ils se ressemblent parfaitement, excepté que l’un est un peu plus grand que l’autre.

     

    Tableau récapitulatif de l’emploi du mode après certaines conjonctions dans les subordonnées circonstancielles

     

    Complément circonstanciel de..IndicatifSubjonctifConditionnel
    Temps après que, jusqu’au moment où, à peine… que, au moment où, pendant que, comme, tandis que, aussitôt que, quand, alors que, depuis que avant que, en attendant que, jusqu’à ce que, d’ici que, d’ici à ce que jusqu’au moment où
    Cause parce que, puisque, sous prétexte que, d’autant plus que, comme, étant donné que, vu que non que (suivi d’une autre proposition de cause mais non niée)
    Conséquence si bien que, tellement que, de sorte que, au point… que, de manière que, de façon que, tant… que, si… que, à tel point que trop pour que, assez pour que
    But pour que, afin que, de crainte que, de peur que  
    Condition suivant que, selon que pour que, à supposer que, à moins que, à conditoin que, en admettant que, pour peu que au cas où, dans l’hyphothèse où, quand bien même, quand même
    Opposition tandis que, pendant que, alors que, tant + adverbe + adjectif + que, tout que loin que, bien que, quoique, sans que, si… que, quelque + nom + que, quel que + être +nom  
    Comparaison comme, de même que, ainsi que, aussi… que, autant… que, tel… que, plus… que, plutôt… que, moins… que