• AVANTAGES ET INCONVENIENTS DE LA TELEVISION.     

                La télévision est omniprésente. Pour les uns, elle représente la seule fenêtre ouverte sur le monde, selon les autres, elle constitue une grave menace pour notre culture. Les avantages et les inconvénients de cette petite boîte magique sont nombreux.
                Abordons en premier lieu les aspects positifs de la question.
                Tout d’abord, on peut dire que la télé nous évite le détour par le cinéma: on n'a pas besoin de se déplacer constamment pour voir un nouveau film. C'est le fameux "cinéma en pantoufles". Voir Rambo chez soi est pour certains le comble du confort.
                Par ailleurs, on peut ajouter que le petit écran nous offre un passe-temps agréable, un divertissement, voire une détente après une longue journée de stress. Le téléspectateur doit fournir moins d'effort qu'à la lecture d'un livre par exemple. Suivre "Les Misérables" sur le petit écran fatigue moins les méninges que de se "taper" les 1500 pages de Victor Hugo chaque soir après le bureau.
                En outre, les chaînes télévisées présentent un support publicitaire appréciable qui permet de relever l'économie et de créer des emplois. Une société comme la CLT a beaucoup fait pour le renom et l'économie du Grand-duché.
                Enfin, et c'est l'argument le plus important, la télévision nous informe de ce qui se passe dans le monde, et en plus elle nous éduque. En effet, quoi de plus instructif qu'un bon journal télévisé sur "n-tv" ou une émission éducative de type Telekolleg ?
                Quant aux aspects négatifs de la télévision, on peut noter :
                D'abord, il faut dire qu'il s'agit d'un média passif: le téléspectateur est sujet à l'abêtissement et à l'abrutissement progressif. Dépourvu de tout esprit critique, il devient rapidement l'objet d'une manipulation télévisuelle. Il ne réfléchit plus, il "avale" tout ce qu'on lui présente.
                De plus, n'oublions pas que nous avons à faire à un média individuel: chacun est fasciné par le tube cathodique et oublie ce qui l'entoure. Ceci risque d'entraîner une dégradation de la vie familiale, sans compter les disputes causées par un désaccord quant au programme de la soirée.
                En outre, les médecins affirment que regarder la télé trop souvent nuit à la santé : les yeux en souffrent et le téléspectateur, immobile et se gavant de chips, de chocolat et autres produits à haute teneur en calories, risque de prendre du poids. Certains ne peuvent plus se passer de la télé, qui devient une vraie drogue dont ils sont dépendants. Lors d'une panne de courant ces personnes sont
     Littéralement "en manque".
                Enfin et surtout, de nombreux critiques reprochent aux chaînes télévisées de diffuser trop de scènes de violence, ce qui risque d'augmenter l'agressivité des jeunes. Pour les sociologues, cette brutalité filmique est une des principales causes de la violence des jeunes d'aujourd'hui. Le crime de sang est banalisé, le meurtre devient une habitude. Des statistiques ont montré qu'un Américain moyen de 16 ans a assisté à 40.000 meurtres télévisés depuis sa naissance.
                Nous venons de voir que la télévision, telle qu'elle est de nos jours, présente bien plus de dangers que d'avantages. Il conviendrait de réduire la quantité de violence et d'augmenter le nombre d'émissions culturelles. En attendant, il faudrait conseiller aux gens, et surtout aux jeunes, de regarder la télé en évitant l'excès, avec esprit critique, et pas trop souvent. Il importe de consulter les programmes, d'opérer un choix préalable et de s'en tenir à ce choix, en évitant de zapper aveuglément pour regarder n'importe quoi.
                A titre de conclusion, on peut dire que la télé c'est bien, mais qu'il faut aussi savoir l'éteindre. C'est comme pour l'alcool pour les non musulmans: "A consommer avec modération."

     Source: Lycée Michel -  Luxembourg


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  • La cruauté avec laquelle les chiens et les chats destinés à la consommation sont traités en Chine et au Vietnam est intolérable. Les enquêtes menées dans ces pays sont accablantes. Comme tous les animaux, nos compagnons à quatre pattes méritent, dans ces pays aussi, d’être traités avec respect. One Voice accompagne les militants locaux afin que les gouvernements adoptent une réglementation assurant leur protection.

    En Asie, manger du chien ou du chat fait partie de la tradition culinaire. Si certains pays l’ont interdite, comme Hong Kong depuis 1950, Taiwan ou les Philippines, la Chine et le Vietnam, notamment, la perpétuent. Pour la justifier, ils avancent un certain nombre de croyances, sans fondements scientifiques reconnus, sur les bienfaits de la consommation de viande de chiens et de chats pour la santé humaine. Au nom de cette tradition, les plus proches compagnons des humains sont soumis aux pires horreurs et à une brutalité sans limite. A l’occasion d’une enquête sur le trafic de bile d’ours au Vietnam, One Voice découvre l’enfer vécu par les chiens. L’association diligente aussi une enquête en Chine : même constat dramatique.

    Une courte vie de misère
    Aucune loi ne protège ces animaux et la notion de bien-être animal n’existe tout simplement pas. Pour répondre à la demande, des élevages intensifs de chiens se sont développés. Aucune règle, aucune déontologie ne régit ces établissements. Les conditions de vie sont déplorables. A l’instar de nos propres élevages industriels, les besoins physiologiques et comportementaux des animaux ne sont pas respectés. Les chiens sont entassés dans des cages minuscules. Ils se battent et se blessent gravement. Nombre d’entre eux ne peuvent résister à la faim, la peur et la maladie. Ils meurent sans avoir connu le réconfort d’une caresse. Cette vie de misère est certes courte : la viande d’un jeune chien est préférée à celle d’un adulte. Au Vietnam, on tue les chiots de 8 à 10 mois pour avoir une viande plus tendre, et en Chine le Saint-Bernard est tué dès ses 4 mois. Toutes les races sont concernées. En Chine, le Saint-Bernard a longtemps été prisé pour son rendement. Aujourd’hui, les producteurs préfèrent des chiens moins coûteux à nourrir. Au Vietnam, ce sont des croisements de race qui fournissent la plus grande partie de la viande. En dehors de ces élevages concentrationnaires, des particuliers en élèvent pour augmenter leurs revenus, et les chiens errants, même avec collier, sont eux aussi destinés à la boucherie. Des ramasseurs professionnels récupèrent en masse ces derniers et ceux dont les propriétaires ne veulent plus. Pour tous les chiens qui résistent à ces conditions de vie sordides, le pire est à venir.

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    La barbarie en action
    Il y a d’abord le transport jusqu’aux lieux d’abattage, bien souvent le restaurant. Lors de l’enquête en Chine, les enquêteurs ont vu un camion transportant un millier de chiens véritablement entassés les uns sur les autres dans de petites cages grillagées, embarqués pour un voyage de 48 h, sans arrêt, urinant et déféquant sur eux, exposés aux intempéries, privés de nourriture et d’eau. Dans les rues chinoises ou vietnamiennes, les animaux sont transportés sur les porte-bagages des motos, eux aussi comprimés dans des cages trop petites et sans la moindre considération.

    Mais c’est dans la mort que culminent la barbarie et la cruauté. Toujours selon les croyances, l’animal doit être saigné lentement afin d’obtenir une viande riche en adrénaline réputée rendre les consommateurs plus virils. Bien sûr, les animaux ne bénéficient d’aucun étourdissement et c’est tout à fait conscients qu’ils sont martyrisés. Une fois livrés dans les restaurants ou les boucheries, les chiens sont attrapés au lasso ou acculés avec un bâton contre un mur et assommés avec un banal marteau. Le bourreau doit frapper à plusieurs reprises sur la tête des chiens dont le sang gicle abondamment. D’autres chiens assistent au carnage. Ils urinent de terreur. Une fois assommés, mais encore vivants, les chiens sont saignés avec un grand couteau enfoncé dans la trachée-artère. Ils sont ensuite ébouillantés, écorchés à la lame et jetés dans un feu de paille pour brûler le surplus de poils. Puis ils sont dépecés.
    De telles scènes sont visibles sur les trottoirs. Hommes, femmes et enfants assistent à la tuerie (cf. Enquête en Chine et Enquête au Vietnam). En Chine, par exemple, le chien est tué sur place après avoir été présenté à la clientèle.

    Les chats pas mieux lotis
    Les chats ne connaissent pas un meilleur sort. Si longtemps leur consommation en Chine a été l’exclusivité de la région de Canton, certaines estimations font aujourd’hui état de 4 millions de félins consommés par an dans ce pays. Juste avant les J.O de Pékin, la ville s’est livrée à un véritable nettoyage embarquant tous les animaux errants et incitant les propriétaires à s’en séparer en raison « d’hypothétiques » dangers pour la santé humaine. Ces animaux ont été entassés dans des fourrières de fortune, véritables mouroirs, avant d’être euthanasiés.

    Pour une loi de protection des animaux
    Un tel sort aux animaux familiers n’est certes pas la panacée de la Chine et du Vietnam. La Corée du Sud, pays ô combien développé, envisage d’accorder le statut d’animal de boucherie au chien, légalisant ainsi le commerce de sa chair. Les liens qui unissent le Vietnam et la France, nous portent à croire qu’il est possible de faire bouger les choses. En Chine, une enquête de 2004, menée avec la participation de One Voice, a révélé que plus des trois quarts des Chinois seraient partisans d’une loi de protection des animaux. Des militants s’y mobilisent pour le bien-être des animaux.

    Dans ces deux pays, One Voice s’est engagée auprès des militants en finançant des programmes de formation et en nouant des partenariats, par exemple avec l’association ActAsia en Chine. Elle multiplie également les actions auprès des gouvernements de ces pays pour interpeller et faire pression afin que ceux-ci interdisent cette industrie et ce commerce et qu’ils protègent de la cruauté ces animaux. Elle œuvre pour que ces pays, à l’image de Hong Kong, des Philippines et de Taiwan, interdisent la consommation de leur chair, et protègent tous les animaux.

    Un représentant de la Division Vétérinaire du Département de l’Agriculture, de la Pêche et de la Conservation du Gouvernement de Hong Kong a publiquement déclaré que les chiens ne pouvaient en aucune façon être élevés et abattus « décemment » pour leur viande.

    MISE À MORT : L’HORREUR 
    Ci-après, une liste non exhaustive des techniques utilisées pour donner la mort aux chiens, ou chats, qui seront ensuite consommés :

    - La strangulation : On attache une corde autour de leur cou, et on tire très lentement… pour l’étrangler afin que la mort ne surviennent pas trop tôt. En même temps, à l’aide d’un couteau, on découpe des morceaux de chair sur le chien encore vivant!…

    - L’ébouillantage: On prend des chiots ou des chatons, on les attachent près d’une marmite d’eau chaude, et on les jette l’un après l’autre. L’animal, hurle son agonie, l’eau étant maintenue à une température précise, pendant quelques secondes (pour que celui-ci ne meure pas sur le coup). Puis extrait de l’eau, il est écorché vivant. Enfin, sans peau et tandis qu’il respire encore, il est jeté dans un bac d’eau froide.

    -  La cage ronde: On place l’animal dans une cage ronde faîte de fils barbelés. Puis, l’homme à l’aide d’un bâton, au bout duquel s’y trouve un nœud coulant (pour y attraper la tête de l’animal sans ménagement). Un fois sorti, il est violemment battu avec un bâton muni d’un pic à son extrémité. Pendant dix minutes, des coups lui seront donnés… Puis un coup lui sera donné sur la tête juste pour le rendre semi inconscient. Et encore vivant, on le dépècera.

     

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  • Pourquoi utiliser Google Chrome ?

    Le navigateur Web est sans conteste le logiciel le plus important sur votre ordinateur. Vous y passez la majeure partie de votre temps en ligne : vous lancez des recherches, chattez, échangez des e-mails, effectuez des achats, consultez votre compte bancaire, lisez l'actualité, visionnez des vidéos, etc.

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      Rapidité

      Google Chrome est conçu pour être le plus rapide possible. En un clic depuis votre bureau, il charge les pages et exécute des applications Web complexes en un éclair. En savoir plus surGoogle Chrome et sa rapidité.

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      Simplicité

      La fenêtre du navigateur Google Chrome est épurée et claire. Elle intègre des fonctionnalités conçues pour une utilisation facile et efficace. Par exemple, vous pouvez à la fois faire des recherches et naviguer depuis la barre d'adresse, et organiser les onglets comme vous le souhaitez. C'est rapide et simple.

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      Sécurité

      Google Chrome est conçu pour vous apporter plus de sécurité sur le Web. Entre autres, il vous protège contre les logiciels malveillants et le phishing, et se met à jour automatiquement pour vous permettre de disposer d'un navigateur sûr. En savoir plus sur les fonctionnalités de sécurité de Google Chrome.

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    • Autres fonctionnalités

      Google Chrome intègre de nombreuses fonctionnalités utiles, telles que l'outil de traduction automatique des pages et l'accès à des milliers d'applications, d'extensions et de thèmes dans leChrome Web Store. En savoir plus sur les fonctionnalités de sécurité de Google Chrome que les utilisateurs préfèrent.


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  • Pourquoi les musulmans ne mangent pas de porc?

    Le fait que le porc soit interdit en islam est une chose bien connue. Les points suivants expliquent différents aspects de cet interdit:

     

    Le porc est interdit dans le Coran : Le Coran interdit la consommation du porc dans au moins 4 versets différents, c'est- à-dire (Sourate 2:173), (Sourate 5:3), (Sourate 6:145) et (Sourate 16:115)

    "Vous sont interdits la bête trouvée morte, le sang, la chair de porc, ce sur quoi on a invoqué un autre nom que celui d'Allah..." [Le Coran, 5:3]
    Ces versets coraniques à eux seuls suffisent à convaincre les musulmans du bien-fondé de l'interdiction du porc.

     

    Le porc est interdit dans la Bible : Peut-être le chrétien sera-t-il plus convaincu par ses propres écritures. La Bible interdit la consommation du porc dans le Lévitique: "Vous tiendrez pour impur le porc parce que tout en ayant le sabot fourchu, fendu en deux ongles, il ne rumine pas."
    "Vous ne mangerez pas de leur chair ni ne toucherez à leur cadavre, vous les tiendrez pour impurs." [Lévitique, 11:7-8]

    Le porc est également interdit dans le Deutéronome: "Et le porc, qui a bien le sabot fourchu et fendu mais qui ne rumine pas; vous le tiendrez pour impur. Vous ne mangerez pas de sa chair et ne toucherez pas à son cadavre."[Deutéronome, 14:8] On retrouve un interdit similaire dans Isaïe, chapitre 65, verset 2-5.

     

    Le porc n’a pas de cou pour l’égorger : le porc ne peut pas être égorgé tout simplement parce qu'il n'a pas de cou.....Cela est une caractéristique physique naturelle du porc, de ne pas avoir de cou.

    Les musulmans disent que si Dieu avait voulu que l'on puisse manger du porc, Il lui aurait donné un cou pour qu'on puisse l'égorger.

     

    La consommation du porc peut être la cause de plusieurs maladies : Les autres non-musulmans et athées ne seront d'accord avec cet interdit que si on leur présente des preuves logiques et scientifiques. La consommation du porc peut être la cause de pas moins de 70 types de maladies. Une personne peut avoir plusieurs helminthes comme l'ascaride, l'ankylostome, etc. L'un des plus dangereux est le Taenia Solium qui, dans la terminologie courante est appelé ténia, ou ver solitaire. Il se réfugie dans l'intestin et il est très long.

    La consommation de porc est mauvaise pour la santé, quelque soit le produit : côtes de porc, jambon, bacon, etc.

    L'acide urique est une substance dangereuse pour le corps humain. Il est important de noter que le corps du cochon ne se débarrasse que de 2% de son acide urique, les 98% restants ne sortant pas du corps. Ceci explique le haut pourcentage de rhumatismes trouvé chez ceux qui consomment du porc.


    Ses œufs pénètrent le système sanguin et peuvent ainsi atteindre pratiquement tous les organes. S'ils pénètrent dans le cerveau, ils peuvent provoquer des pertes de mémoire. S'ils pénètrent dans le cœur, ils peuvent provoquer un arrêt cardiaque. S'ils pénètrent les yeux, ils peuvent causer la cécité et s'ils pénètrent le foie, ils peuvent y causer de sérieux dommages. Ils peuvent endommager presque tous les organes du corps.


    Une idée reçue répandue au sujet du porc veut que si celui-ci est bien cuit, les œufs de vers qu'il contient meurent. Dans un projet de recherche entrepris aux états-Unis, il a été découvert que parmi 24 personnes ayant contracté le Trichura Tichurasis, 22 avaient fait bien cuire leur viande de porc. Cela indique que les œufs présents dans la viande ne meurent pas lorsque exposés à des températures de cuisson.

     

    Le porc et l’acide urique : Les recherches scientifiques ont démonté que la consommation de la viande porcine quelle soit (jambes, cuisse, bacon, foie..) est très nocif pour la santé : En effet, le corps humain contient de l'acide urique, cette acide à un effet très nocif pour la santé.

    Pour cette raison, le corps humain en évacua 98 % par voie urinal et en garde 2 % dans le corps. À l'inverse, le cochon, qui est réputé pour sa grande variété de consommation (foin, viande, herbe, il mange même les hommes) n'évacua pas ces déchés par voie urinal. Ceci étant stocké dans son corps. Le corps du cochon garde donc 98 % d'acide urique dans son corps pour n'en évacuer que 2 % !

    Nous avons vu que cette acide est très nocif pour la santé ! (C'est pour cette raison que Dieu exalté soit-il à instauré l'égorgement rituel, mais c'est un tous autre sujet)

    Donc la viande porcine contient dans toute sa surface de la matière grasse et 98 % d'acide urique.

     

    La viande de porc génère surtout de la graisse : La viande de porc ne génère que très peu de tissus musculaires et contient un excès de gras. Ce gras se dépose dans les vaisseaux et peut causer de l'hypertension et/ou un arrêt cardiaque.

     

    Le porc est l'un des animaux les plus sales qui soient : Le porc est l'un des animaux les plus sales de la terre. Il vit dans la boue, le fumier et la saleté. C'est le meilleur charognard que Dieu ait créé. Dans les villages où il n'y a pas de toilettes modernes et où les villageois font leurs besoins à l'extérieur, très souvent, ce sont les porcs qui les débarrassent de leurs excréments en les mangeant. Certains avanceront que dans les pays développés comme l'Australie, les porcs sont élevés dans des conditions on ne peut plus hygiéniques. Mais même dans ces conditions, les porcs sont confinés à des porcheries et en dépit des efforts déployés pour les garder propres, ils demeurent sales de nature. Ils mangent avec appétit leurs propres excréments comme ceux de leurs voisins.

     

    Le porc est l'animal le plus obscène qui soit : Le porc est l'animal le plus obscène que l'on retrouve sur cette terre. C'est le seul animal qui invite ses compagnons à s'accoupler avec sa partenaire.

     

    la consommation du porc et le cancer : consommer de la viande de porc une fois ou plus par semaine multiplie chez la femme le risque de cancer du sein par deux (Lubin et al., International Journal of Cancer, 1981, et Kolonel et al., British Journal of Cancer, 1981).

    Les nitrates, souvent présents dans les produits carnés (porc principalement), se transforment dans le corps humain en nitrosamines, carcinogènes extrêmement puissants (Académie Nationale Britannique des Sciences, Rapport sur les accumulations de nitrates, 1972).

     

    Le porc et les bactéries : la streptococcus est une bactérie pathogène du porc. Chaque année, ce micro-organisme est responsable de sévères pertes économiques pour l’industrie porcine du Québec. La bactérie peut également affecter l’humain, et tout particulièrement les travailleurs de l’industrie porcine. Ces cas sont peu diagnostiqués étant donné la méconnaissance de ce pathogène dans le domaine de la santé humaine. Chez le porc, les manifestations cliniques les plus fréquemment observées sont la méningite et la septicémie.

    La bactérie est capable de traverser la fine barrière hémato-méningée protégeant le cerveau du porc. Cette barrière est constituée de cellules endothéliales qui tapissent l’intérieur des minuscules vaisseaux sanguins irriguant le cerveau.


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